
Des constantes se retrouvent en effet dans ses photographies :
• le rapport à une nature inaccessible. La nature est conjuguée au passé ; on y trouve des pyramides, des rhinocéros, des mythes, au moins de la nostalgie, parfois de la tristesse
• pas de vrai blanc dans ses images, tout est en low key, pas d’échappées claires dans les ciels
• du flou, du vignettage
• de l’exotisme : animaux ou monuments lointains, avec une tonalité coloniale
• souvent du mouvement, comme effacement des premiers plans
• des yeux fermés, ou des visages effacés ou baissés